Nouvelle étude autour des cryptocurrencies au Maroc
Un dossier autour des cryptoccurrencies a été publié sur le journal L’Économiste du 28 février 2025

1. « C’est le nouvel or numérique »
L’article explore la croissance de l’adoption des cryptomonnaies au Maroc, malgré l’interdiction officielle. Il souligne que l’interdiction n’a pas empêché l’augmentation du nombre de détenteurs de crypto-actifs, estimés à environ 6 millions de Marocains. L’article compare le Bitcoin à l’or en tant que valeur refuge, notamment dans un contexte de crise économique. L’absence de cadre juridique clair est pointée du doigt, avec un appel à une meilleure régulation pour encadrer le marché et assurer plus de transparence.

2. « Une réglementation qui se fait toujours attendre »
Ce texte insiste sur l’importance d’instaurer un cadre juridique pour protéger les investisseurs et éviter les arnaques. La Banque centrale marocaine (Bank Al-Maghrib) et l’Autorité marocaine du marché des capitaux (AMMC) travaillent sur une régulation, en s’inspirant du cadre européen MiCA. Il est également question des risques liés au blanchiment d’argent, soulignant que l’Autorité nationale des renseignements financiers (ANRF) surveille de près les transactions suspectes.

3. « Cryptomonnaies : Comment s’y retrouver ? »
Cet article adopte un ton pédagogique pour aider les lecteurs à comprendre comment acheter et utiliser des cryptomonnaies. Il explique :
- Ce qu’est une plateforme d’échange de crypto-actifs.
- Les critères de choix d’une plateforme (sécurité, coûts, facilité d’utilisation).
- Les frais associés : inscription, transactions (0,75% à 5%), retraits (0,1% à 0,2%), et les dépôts minimums variant selon les plateformes (ex. 260 DH sur Bitpanda, 1.000 DH sur XTB).

Conclusion
Le Maroc avance lentement vers une réglementation des cryptomonnaies. Malgré l’interdiction officielle, leur adoption ne cesse de croître. L’État cherche à structurer le marché pour protéger les investisseurs, tout en prenant en compte les exigences internationales de lutte contre la fraude et le blanchiment d’argent.